La mort est un événement que le progrès de science ne peut pas maîtriser. Tout le monde a sa propre expérience sur la façon de passer les phases de deuil. Mais une chose est sûre, il faut du temps pour ne plus sentir la présence et la perte d’un être cher. D’ailleurs, le processus de deuil peut être plus difficile dans certains cas comme la mort subite ou un accident tragique. D’autres sont allés même voir un psychologue ou un médecin pour en finir avec les idées suicidaires, la détresse ou le mal-être. Dans cet article, nous allons parler justement du bouleversement psychique que le deuil peut causer et les moyens pour le surmonter.
La perte d’un être cher ne se limite pas aux soucis pécuniaires liés à l’enterrement et à la baisse de rentrée d’argent s’il s’agit de la mort d’un parent ou d’un conjoint. L’enjeu du deuil se trouve dans la capacité de la personne endeuillée à surmonter cette épreuve mais aussi de son entourage qui doit le soutenir. Car on ne vit pas le deuil tout seul. On porte le deuil d’une personne ayant appartenu à la communauté rassemblant les membres de la famille, les collègues, les amis… D’où l’importance de l’assistance des proches et amis aux funérailles car cela permet de situer l’événement dans sa dimension sociale. La famille endeuillée peut se consoler dans l’affection des amis et entourage qui viennent présenter leurs condoléances face à la disparition de l’être aimé. Leur soutien leur permet de mieux supporter l’absence physique du défunt.
Les personnes qui perdent quelqu’un qui leur est chère traversent un état d’une grande intensité émotionnelle. En entendant la mauvaise nouvelle, nombreuses sont happés par l’incrédulité, l’incompréhension, la tristesse, le regret, le remords, la douleur, la peine, la peur, l’anxiété…. Les réactions sont différentes et même les membres d’une même famille n’ont pas le même ressenti face à la mort d’une fratrie ou d’un ascendant car ils n’entretiennent pas la même relation avec le défunt. Il ne convient pas ainsi de se comparer avec son entourage sur la manière de faire face à la disparition d’un être aimé. Il faut se donner le droit de vivre son deuil et de reconnaître les émotions et problèmes que peuvent engendrer la disparition. Les nombreuses émotions causées par l’annonce de la mort d’une personne peuvent causer de bouleversement sur le plan physique et cognitif d’une personne. Elle peut ressentir d’engourdissement, de lassitude, de déficit d’attention, de stress, de confusion, d’isolement etc. La disparition peut même changer son comportement. Il faut savoir aussi qu’un deuil n’est jamais seul. La mort d’un proche peut causer la perte des liens affectifs avec le décédé, mais aussi la perte d’un sponsor, d’un confident, d’un père de famille, d’un partenaire d’affaires etc. Ces pertes peuvent affecter son finance, ses croyances et même sa perspective de la vie. Il est donc nécessaire de reconstruire ces différents éléments dans les sphères de sa vie.
Certains pensent qu’on doit passer par l’acceptation de la disparition d’une personne un an après la mort. D’autres croient qu’elles doivent passer par certaines étapes préétablies, et une fois ces étapes franchies, elles ont fini le deuil. En fait, ce processus n’est pas aussi exempt de fluctuations. Il est possible d’oublier un être aimé au fil du temps, mais son souvenir peut revenir en fonction des circonstances et de ses émotions. A noter toutefois que si le souvenir persiste toujours après un ou deux ans et si cela cause du bouleversement dans sa vie, la consultation d’un médecin ou d’un psychologue est à conseiller.
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