Guide finance senior : assurances-crédits-travaux-placements

Comparatif monte escaliers – douches plain pied – baignoires à porte - Assurances obsèques décès invalidité - Assurances de prêt et travaux pour Seniors

Comment vérifier si une personne est bien décédée ?

La question peut sembler déplacée mais il n’est pas rare qu’une personne déclarée morte se réveille en morgue. Les chances de tomber sur un corps apparemment sans vie ressuscité sont minimes mais il est tout de même nécessaire de s’assurer qu’une personne est réellement morte avant de l’embaumer, de l’incinérer ou de l’inhumer. Heureusement qu’il existe quelques signes corporels permettant de réduire les marges d’erreur d’enterrer une personne vivante.

Le phénomène d’une personne vivante enterrée pourrait survenir notamment dans les pays en voie de développement où les moyens médicaux ne sont pas suffisants. Pour confirmer qu’un individu succombe réellement à la mort et qu’il ne s’agit pas d’une simple perte de conscience, il convient de tenir compte de certains signes. Plusieurs équipements fiables permettent également de vérifier et de certifier la mort d’un individu. Ces signes comprennent les symptômes dits négatifs et les symptômes positifs Les signes négatifs indiquant l’absence de vie :

  • la disparition de pouls : en plaçant le bout de ses doigts sur le poignet de la personne ou de chaque côté de son cou, si on ne ressent plus de battement de cœur, il est possible que l’individu est mort. Mais notez encore que l’absence de pouls ne signifie pas nécessairement aussi que la personne a vraiment trépassé.
  • l’arrêt de la respiration et du battement de cœur : vérifier si la poitrine de la personne ne se soulève et ne s’abaisse plus et placer l’oreille sur sa bouche et son nez. Le truc du miroir fonctionne également. Mettez le miroir ou une surface vitrée sous le nez de la personne et vérifiez s’il s’embue.
  • regardez la pâleur de la peau et vérifiez si les pullules sont réactives : pour ce, prenez une lampe de poche et dirigez le faisceau dans l’œil. Si les pullules ne se resserrent plus, la personne a probablement passé de la vie à la mort.

Ces indices peuvent néanmoins être confondus à ceux d’un coma profond. Seuls les signes positifs d’une mort permettent de prononcer effectivement que la personne ne figure plus parmi nous. Ces signes positifs sont :

  • la rigidité cadavérique : cet état correspond au raidissement d’un corps (du cou puis la face et les membres) dans les 30 mn à 2 h après le décès. La rigidité disparaît après l’enclenchement du processus de décomposition.
  • la baisse d’un degré de la température corporelle toutes les 60 mn dès la survenue de la mort jusqu’à ce qu’elle atteigne la température ambiante.
  • la présence de taches de couleur rouge ou violette dues à la chute de sang dans les tissus dans les 20 mn après la mort.

Ces signes permettent de vérifier qu’un individu a rendu l’âme mais s’il est soigné en milieu hospitalier, le personnel se sert des appareillages sophistiqués comme les électrocardiogrammes, les électrocardioscopes etc. pour affiner le diagnostic et éviter les erreurs. Après l’examen indispensable, le médecin de famille ou le médecin dans le milieu hospitalier signe le certificat de décès. Ce certificat est nécessaire pour la réalisation des soins de conservation, l’inhumation ou la crémation. Il permet également le déblocage des capitaux dans les comptes du défunt ou dans son assurance vie.   Les proches du défunt disposent 6 jours pour organiser les funérailles. La souscription à une assurance obsèques dès son vivant permet de faciliter l’organisation et le financement de cet événement douloureux inévitable. Le comparateur  assurance obsèques  sur ce site aide à dénicher en quelques clics l’assurance obsèques le plus intéressant en termes de prime, de capital et des prestations annexes. Le recours à cet outil n’est pas payant.


Connaissez-vous la Définition de la crémation ?

L’obtention d’un certificat de décès est indispensable pour les funérailles. En France, il existe deux types de modes funéraires : l’inhumation et la crémation. La crémation est une technique venant de l’Asie mais cette pratique ancienne date déjà depuis le 4ème siècle avant J.C. Elle est utilisée dans le Bouddhisme et l’hindouisme. Elle consiste à réduire en cendres le cadavre d’un défunt en la brûlant dans une température élevée. A l’issue de la procédure, les proches peuvent récupérer les ossements calcinés et les placer dans une urne funéraire ou les disperser dans un jardin funéraire. Si le défunt a indiqué ses dernières volontés concernant la crémation de son corps lors de son vivant, ses proches doivent respecter à la lettre cette directive. La loi autorise la pratique de cette technique depuis 1887 en Hexagone. Elle ne faisait pas beaucoup d’adeptes à ses débuts, mais aujourd’hui le taux de crémation concerne la moitié des cadavres en France. La crémation diffère de l’incinération qui est la technique de traitement des ordures et déchets en cendres.

Retour